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Puits de Mahdia 4 millions de dinars en otage !

8 mai 2010

MAHDIA

La situation de l’eau potable dans la localité de Mahdia, commune d’Oued Tlélat, nécessite un effort supplémentaire de la part des services de l’hydraulique. Mais, le puits communal de Mahdia fait l’objet d’un litige entre un exploitant agricole et les services de l’hydraulique. Et depuis, 400 millions de centimes dégagés pour sa réhabilitation sont pris en otage dans ce conflit. Selon une source de la SEOR,

l’entreprise chargée de la gestion de l’eau potable, le conflit pénalise les habitants de la localité. L’eau se fait rare alors que de tout temps, la commune et les citoyens s’y approvisionnaient en toute légalité depuis des années. Notre source affirme que le dossier de l’expropriation du puits et de la superficie de sécurité, soit un diamètre de 80 mètres, est entre les mains du DRAG (Directeur de la réglementation et des affaires générales) de la wilaya d’Oran pour le règlement définitif du problème. D’ailleurs, le même cas s’était posé à El Aoumeur, commune de Boufatis, mais les choses sont rentrées dans l’ordre. La SEOR a réhabilité le puits, au bonheur de tous les habitants du douar. Cependant, il faut sensibiliser les habitants et l’exploitant agricole de Mahdia sur les risques de contamination que tout élevage d’ovins, de caprins ou de bovins près du puits peut provoquer. Une biologiste de la SEOR est catégorique : « Le taux toléré de nitrite est de 0,1 mg/l et 50 mg/l pour les nitrates. Dépassé ce seuil, les deux produits deviennent dangereux pour la santé publique.» De son côté, un responsable insiste sur le danger des urines des bêtes qui contiennent du nitrate. Ce dernier s’infiltre rapidement car la profondeur du puits de Mahdia ne dépasse pas les 15 mètres. Avec les pluies, le phénomène de la contamination est réel, si le périmètre de sécurité n’est pas respecté. Les responsables sont conscients du risque. Des mesures draconiennes s’imposent alors. « La santé publique n’a pas de prix », avait déclaré le ministre de l’Environnement M. Cherif Rahmani lors de la fermeture de l’usine d’amiante de la commune de Zahana. Noureddine Benabbou

L’Echo D’Oran du Jeudi 8 Octobre 2009

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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