La mise en service du centre d’enfouissement technique en octobre 2007 a résolu notamment le problème de la décharge sauvage située sur la route d’Aïn Guesma, véritable vivier de toutes sortes de maladies pour les riverains. « Mais la gestion de cette structure est loin de répondre aux normes requises »
selon l’association écologique « Essalem El Akhdar ». Selon cette dernière, le nouveau CET ne fonctionne pas suivant l’étude réalisée par un bureau d’études spécialisé, c’està- dire selon les normes internationales. Estil écrit dans une déclaration écrite remise à notre bureau par l’association écologique. « Le CET s’est transformé au fils du temps, toujours selon l’association écologique en une décharge contrôlée avec toutes les conséquences incalculables sur l’environnement, la nappe phréatique et sur le sol ». Le CET est un acquis important pour la ville de Tiaret à laquelle il a coûté plusieurs milliards. Il permet l’éradication de boutes les décharges sauvages, mais sa gestion laisse beaucoup à désirer ». « A-t-on pensé avant le démarrage du CET, à la formation et l’encadrement habilité à gérer une telle structure ? » S’interroge l’association en question. « Le CET est une installation destinée à la protection de l’environnement, elle reçoit les déchets en évitant toute pollution. Sa structure et son fonctionnement sont soumis à des règles strictes concernant notamment de pollution des sols, de la nappe phréatique et de l’environnement. Ce qui est loin d’être le cas pour le CET de Tiaret ». Estime l’association. Enfin, l’association lance un appel aux responsables de la wilaya pour « mettre un terme à une situation préjudiciable à plus d’un titre pour l’environnement » et « pour une meilleure maîtrise de la gestion du site
De notre bureau : M. Oussaïd
L’Echo D’Oran du Samedi 19 Juillet 2008
28 mai 2010
M. OUSSAID