Au grand dam des spécialistes locaux de la boucherie, et faisant fi des orientations en matière de prévention et d’hygiène préconisées par les autorités compétentes, un baron algérois fait main basse sur toutes la boucherie dans la capitale des Rostomides
Malgré les instructions de M. le wali et certain responsables soucieux de la santé et les besoins des citoyens, le marché informel des viandes et l’abattage clandestine avec la complicité de certains vétérinaires, imposent leur véritable diktat, et l’illustration a fait la une des journaux où près de 30 personnes ont été intoxiquées suite à la consommation de poulets rôtis à Ain Kermès et selon les premiers éléments de l’enquête deux fournisseurs de poulets originaires d’Ain El Hadid ont été inculpés en bien signalant que l’effet de pollution dire à l’abattage clandestin de poulets à Ain El Hadid a été violemment dénoncé par le voisinage cependant les autorités concernées brillent par leur absence. Aucune mesure de sécurité n’a été prise, et aucune taxe n’a été imposée et l’on s’interroge sur l’objectif de l’abattoir communal et le devoir des vétérinaires tout en notant que la politique du « tout va bien » a ses néfastes conséquences et c’est toujours le citoyen qui se trouve victime de son incivisme et du défaitisme de ses responsables. Par ailleurs, et de source généralement bien informée, nous apprenons que le foie a atteint le prix de 1000,00 DA le Kg à Tiaret et qu’un baron Algérois rafle tout le produit étale dans toutes les boucheries du territoire de Tiaret. Certains boucheries sont payés à l’avance et certes le consommateur trouve beaucoup de difficultés à trouver le foie soit celui du mouton ou du veau, c’est la pénurie et aucune enquête n’a été déclenchée par les services concernés à Alger le foie est à 1600,00 DA. Affaire à suivre.
Abdelkader Berrebiha
Dimanche 3 Janvier 2010
REGIONS
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7 juillet 2010
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