En dépit des efforts gigantesques entrepris par les pouvoirs publics pour faire valoir un meilleur cadre de vie, il est des situations ubuesques qui concourent malheureusement à déteindre sur ce développement tous azimuts que la ville de Sidi Khaled connaît.
A la cité dite « Cadat », un lotissement connaît des excroissances architecturales criardes en dehors des normes et des règles d’urbanisme. Certains acquéreurs de villas ou carcasses, mus par le silence des institutions concernées, ont vite fait de transformer les passages en biens propres au su et au vu de tout le monde. Même pas la police de l’urbanisme et la justice qui ont décidé d’arrêter certains travaux n’ont pu dissuader le contrevenant. De l’autre côté de la ville, au lotissement dit D/108, la situation reste cauchemardesque. En 2004, lors du dépôt du dossier au niveau de l’Agence foncière (AFCOT) de Tiaret, il a été exigé aux habitants de procéder à un versement de 65.000 DA chacun pour les travaux d’assainissement et de VRD sous peine de rejet de dossier.
Edition du 4 août 2010
Par
6 août 2010
Fawzi Amellal.