B. KACEM CORRESPONDANT DE LA VOIX
Certaines entreprises engagées sur plusieurs travaux au centre-ville, ne semblent pas mesurer la gravité des accidents dont elles seraient directement liées au cas où un incident se produirait.
L’absence de périmètre de sécurité, de cordons de signalisation des travaux et surveillance ont depuis représenté des dangers permanents pour les utilisateurs de cette ruelle. Sur un chantier d’assainissement au niveau de la rue de la Medersa, pour ne citer que cet espace pour son importance d’accès au marché couvert et à la place du 17 octobre, lieux des plus fréquentés par les populations. Les travaux achevés ont laissé derrière eux des traces de l’imperfection et des négligences. Sur le terrain abandonné on y trouve des regards d’égouts encore ouverts, des coffrages non protégés et remblais encore enlevés ou nettoyés en plus des décombres de toutes sortes. La rue de la Medersa ne fait pas exception à la règle, d’autres chantiers mal surveillés continuent à contredire les principes les plus élémentaires fixant les conditions de travail des chantiers et les mesures de sécurité.N°3408 – DIMANCHE 23 JANVIER 2011 La Voix de l’Oranie
23 janvier 2011
3.Non classé, Boudali. KACEM