Certaines entreprises engagées sur des chantiers liés à l’aménagement urbain semblent adhérer pleinement aux conditions météorologiques, en trouvant ainsi l’alibi tout indiqué pour se mettre à la trêve.Au repos,
un chantier ouvert sur la rue de la Medersa au centre-ville du chef-lieu de wilaya n’arrive toujours pas à sa fin, le rythme du projet étant même considéré «très insatisfaisant» par les locataires et commerçants de cette rue.Le projet de réfection et réhabilitation des trottoirs dégradés sous l’effet mécaniques connait donc des retards considérables ce qui n’a pas manqué d’alimenter la spéculation dans les cafés et lieux publics.Selon les premiers éléments d’information recueillis, la DUC aurait résilié le marché pour non respect des clauses contractuelles et retards flagrants enregistrés sur les délais de livraison. Mais quelle solution a été apportée? Aucune apparemment et, devant cette situation qui perdure, les propriétaires des commerces interpellent le Premier responsable de la wilaya à réactiver le chantier et mettre fin à «ces pratiques aux symptômes de tricherie». Sur un autre chantier, situé celui-ci au quartier des 600 logements, on n’est pareillement pas près de reprendre les travaux et livrer un centre de soins dans les délais. C’est encore plus grave!
B.Kacem
8 juin 2011
Boudali. KACEM