Le jeune B A résidant à Ain D’heb dans la wilaya de Tiaret, exclu de plusieurs quotas de logements sociaux, n’a eu cesse de demander l’intervention des différentes autorités en sa faveur pour l’obtention d’un logement décent où il peut vivre décemment, loin de la poussière, de l’amiante, de la moisissure et échapper en malade chronique à la morosité.
Issu d’une famille nombreuse et de parents pauvres habitant dans un taudis dans des conditions lamentables dans lesquels ce jeune avait contracté une maladie chronique. Cette maladie ne lui permet pas de vivre sous une toiture une éternité sous la menace de l’amiante ou dans un environnement pollué ou poussiéreux. En donnant sa maladiedes causes de développement, il a saisi le directeur de l’action sociale de la wilaya de Tiaret ( Membre de la commission d’attribution de logement), il a sollicité l’intervention du Président de l’APW, celle du Directeur général de l’action sociale à Alger, il a même saisi le premier ministre. Il a frappé à toutes les portes, il détient les copies de plusieurs lettres adressées aux autorités, toutes ses tentatives sont restées vaines. Le chef de Daïra d’Ain D’heb, président de la commission d’attribution de logement, en tant que commis de l’état, n’a rien trouvé à dire à ce jeune malade chronique que : « c’est votre maire qui est chargé de l’élaboration des listes des bénéficiaires et je ne peux rien faire pour toi » témoigne le jeune BA avec désolation. La souffrance de sa maladie avait commencé bien avant sa souffrance avec l’administration pour l’obtention d’un logement. Elle date de 2004. Se trouvant dans une déception totale, il ne sait à quel saint se vouer, il lance un appel par le biais des colonnes du journal « Réflexion » pour se faire entendre par qui de droit.
Fayçal
Vendredi 5 Août 2011
INFO OUEST
http://www.reflexiondz.net
5 août 2011
AIN DEHEB, FAYCAL, LOGEMENTS