le 15.09.11 | 01h00
Logiquement et dans le cadre des responsabilités qui vous sont dévolues, vous êtes en droit d’appliquer la réglementation et les lois en vigueur équitablement et pour tout le monde.
De là découle ce sentiment de justice auquel tout citoyen aspire. Malheureusement, je constate qu’en tant que commerçant et contribuable qui souscrit à la légalité je suis victime de la part de mon état un grave déni de justice quand des commerçants dits de l’informel font fi des lois et des textes en vigueur et en viennent jusqu’à fouler aux pieds ces mêmes textes qu’on applique sur la seule tête de l’honnête. Après avoir squatté les trottoirs en les occupant de force non sans dommages sur l’environnement hélas, il devient loisible que ces gens là n’observent même pas les minima en matière d’hygiène. De ce fait, ils contreviennent non pas à 100% la loi mais à 1000%, nonobstant les dégâts sur la santé des consommateurs que ces ventes à l’air libre génèrent. En définitive, je me résous à croire que ce sont là de la «hogra», de la déviation et de l’injustice. Cette missive étant expédiée à toutes les autorités centrales et locales, depuis le président de la république au DCP.
Mostefai Benatta, 16, Boulevard Ghlamallah Nourredine Tiaret
© El Watan
16 septembre 2011
FAYCAL, Si Abdelghani