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Le 5ème festival national de musique San’a s’est ouvert lundi soir à la salle Ibn- Zeydoun (Alger) avec une nouba Mezmoum interprétée par cheikh Mustapha Benguergoura accompagné par l’Ensemble régional de musique andalouse d’Alger. D’une voix chaude et grave au timbre mélancolique, l’artiste a entamé la nouba par un m’çeder «Ya Men Saken Sadri», clamant des paroles exprimant le trouble d’un homme amoureux au coeur profondément épris. Il a poursuivi la nouba par un betaïhi «Atani Rassoul», un derdj «Saraqa El Ghosnou », un inciraf «Koum Yassir Lana» pour la terminer par deux khlass «Ya Moukabil» et «Ya Rouhi», dans un enchaînement harmonieux des morceaux avec une justesse remarquable dans la voix. L’amour, la passion, le printemps, la nature, les fleurs et tout ce qui peut suggérer la beauté, se sont dégagés de la poésie andalouse chantée par cheikh Benguergoura qui était installé au milieu des musiciens de l’Ensemble régional d’Alger, dirigé par cheikh Mokdad Zerrouk, également commissaire du festival. La deuxième partie de la soirée inaugurale du festival,avec la participation de treize associations de musique andalouse, a été animée par les associations «El Fen wa Nachat» de Mostaganem et «Les Beaux-Arts» d’Alger qui ont gratifié respectivement l’assistance de deux noubas dans les modes dil et ghrib. Outre ces deux associations, la compétition pour décrocher le 1er prix du festival concernera également les associations «Amel Sougueur» (Tiaret), «El Motribi» (Blida), «El Youssoufia» (Miliana), «Er-Rachidia » (Cherchell), «Es-Sendoussia » (Alger), «Cordoba» (Alger), «Er-Rachidia» (Mascara), «El Fen Ouel Adab» (Blida), «Djenadia» (Boufarik), «El Fen El Acil» (Khemis Miliana) et «Ibnou Badja» (Mostaganem). Le festival, dédié à la San’a, un genre musical dérivé de la musique andalouse, propre à l’école d’Alger tout comme le gharnati (Tlemcen) et le malouf (Constantine), se poursuivra jusqu’au 5 novembre. Un hommage sera rendu au maître de la mandoline et de la kwitra, Mustapha Bahar, appelé aussi El Hassar, lors de la soirée de clôture qui verra le passage sur scène de l’Ensemble de musique andalouse d’Alger et l’association «El Kaïssaria» de Cherchell.

2 novembre 2011

Culture, Sougueur

Le 5ème festival national de musique San’a s’est ouvert lundi soir à la salle Ibn- Zeydoun (Alger) avec une nouba Mezmoum interprétée par cheikh Mustapha Benguergoura accompagné par l’Ensemble régional de musique andalouse d’Alger. D’une voix chaude et grave au timbre mélancolique, l’artiste a entamé la nouba par un m’çeder «Ya Men Saken Sadri»,

clamant des paroles exprimant le trouble d’un homme amoureux au coeur profondément épris. Il a poursuivi la nouba par un betaïhi «Atani Rassoul», un derdj «Saraqa El Ghosnou », un inciraf «Koum Yassir Lana» pour la terminer par deux khlass «Ya Moukabil» et «Ya Rouhi», dans un enchaînement harmonieux des morceaux avec une justesse remarquable dans la voix. L’amour, la passion, le printemps, la nature, les fleurs et tout ce qui peut suggérer la beauté, se sont dégagés de la poésie andalouse chantée par cheikh Benguergoura qui était installé au milieu des musiciens de l’Ensemble régional d’Alger, dirigé par cheikh Mokdad Zerrouk, également commissaire du festival. La deuxième partie de la soirée inaugurale du festival,avec la participation de treize associations de musique andalouse, a été animée par les associations «El Fen wa Nachat» de Mostaganem et «Les Beaux-Arts» d’Alger qui ont gratifié respectivement l’assistance de deux noubas dans les modes dil et ghrib. Outre ces deux associations, la compétition pour décrocher le 1er prix du festival concernera également les associations «Amel Sougueur» (Tiaret), «El Motribi» (Blida), «El Youssoufia» (Miliana), «Er-Rachidia » (Cherchell), «Es-Sendoussia » (Alger), «Cordoba» (Alger), «Er-Rachidia» (Mascara), «El Fen Ouel Adab» (Blida), «Djenadia» (Boufarik), «El Fen El Acil» (Khemis Miliana) et «Ibnou Badja» (Mostaganem). Le festival, dédié à la San’a, un genre musical dérivé de la musique andalouse, propre à l’école d’Alger tout comme le gharnati (Tlemcen) et le malouf (Constantine), se poursuivra jusqu’au 5 novembre. Un hommage sera rendu au maître de la mandoline et de la kwitra, Mustapha Bahar, appelé aussi El Hassar, lors de la soirée de clôture qui verra le passage sur scène de l’Ensemble de musique andalouse d’Alger et l’association «El Kaïssaria» de Cherchell.

Le 5ème festival national de musique San’a s’est ouvert lundi soir à la salle Ibn- Zeydoun (Alger) avec une nouba Mezmoum interprétée par cheikh Mustapha Benguergoura accompagné par l’Ensemble régional de musique andalouse d’Alger. D’une voix chaude et grave au timbre mélancolique, l’artiste a entamé la nouba par un m’çeder «Ya Men Saken Sadri», clamant des paroles exprimant le trouble d’un homme amoureux au coeur profondément épris. Il a poursuivi la nouba par un betaïhi «Atani Rassoul», un derdj «Saraqa El Ghosnou », un inciraf «Koum Yassir Lana» pour la terminer par deux khlass «Ya Moukabil» et «Ya Rouhi», dans un enchaînement harmonieux des morceaux avec une justesse remarquable dans la voix. L’amour, la passion, le printemps, la nature, les fleurs et tout ce qui peut suggérer la beauté, se sont dégagés de la poésie andalouse chantée par cheikh Benguergoura qui était installé au milieu des musiciens de l’Ensemble régional d’Alger, dirigé par cheikh Mokdad Zerrouk, également commissaire du festival. La deuxième partie de la soirée inaugurale du festival,avec la participation de treize associations de musique andalouse, a été animée par les associations «El Fen wa Nachat» de Mostaganem et «Les Beaux-Arts» d’Alger qui ont gratifié respectivement l’assistance de deux noubas dans les modes dil et ghrib. Outre ces deux associations, la compétition pour décrocher le 1er prix du festival concernera également les associations «Amel Sougueur» (Tiaret), «El Motribi» (Blida), «El Youssoufia» (Miliana), «Er-Rachidia » (Cherchell), «Es-Sendoussia » (Alger), «Cordoba» (Alger), «Er-Rachidia» (Mascara), «El Fen Ouel Adab» (Blida), «Djenadia» (Boufarik), «El Fen El Acil» (Khemis Miliana) et «Ibnou Badja» (Mostaganem). Le festival, dédié à la San’a, un genre musical dérivé de la musique andalouse, propre à l’école d’Alger tout comme le gharnati (Tlemcen) et le malouf (Constantine), se poursuivra jusqu’au 5 novembre. Un hommage sera rendu au maître de la mandoline et de la kwitra, Mustapha Bahar, appelé aussi El Hassar, lors de la soirée de clôture qui verra le passage sur scène de l’Ensemble de musique andalouse d’Alger et l’association «El Kaïssaria» de Cherchell. dans Culture header

 

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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