Dans une correspondance adressée au wali d’Oran, M. Abdelmalek Boudiaf, dont une copie a été transmise à notre bureau, ayant pour objet Réconciliation de la famille du MC Oran, les adhérents de l’association «Akram, non à la violence», ses dirigeants, ses milliers de sympathisants à travers l’Algérie, les sportifs de la wilaya de Tiaret,
la jeunesse de la daïra de Frenda, en en particulier celle de la commune d’Aïn El-Hadid, remercient tout d’abord le wali d’Oran des efforts qu’il consacre à la jeunesse, et particulièrement aux sportifs, écrit le document, comme constaté lors de sa présence d’honneur à l’hommage rendu au grand monsieur du MCO, en l’occurrence Belkedrouci Sid Ahmed. Tout ce beau monde sait pertinemment que le premier responsable de la wilaya tente de redorer le blason perdu du football d’El Bahia, et ce à travers plusieurs opérations qu’il a dirigées depuis sa nomination à la tête de la wilaya d’Oran. C’est pourquoi, souligne le document, en tant qu’association soucieuse d’un bon esprit sportif et fairplay dans le sport en général en dans le foot en particulier, les membres de cette association espèrent être très honorés de pouvoir aider M. Abdelmalek Boudiaf dans sa noble tâche, qui consiste à réunir toute la famille du MCO, anciens dirigeants et joueurs, ainsi que des notables conscients du devenir de ce club historique, et des représentants des supporters de chaque quartier de la ville d’Oran. Par ailleurs, les membres de l’association, à leur tête, le président M. Hadj Douba, portent à la connaissance du wali, qu’ils ont contacté par téléphone, ces derniers jours, séparément, Abdalilah Larbi et Djebbari Youssef, lesquels ont leur fait savoir qu’ils n’avaient aucune inimitié entre eux et que leurs rapports son excellents, d’où, la nécessité d’une telle rencontre et d’un débat qui pourront situer les responsabilités et, surtout, de trouver un chemin d’entente pour la renaissance de ce club aux palmarès riches et cher aux Hamraouas et à tous les sportifs de l’Ouest du pays. Espérons enfin, de notre part, que le temps des vaches maigres s’arrêtera, le plutôt possible, de sévir à travers toute la famille footballistique du Mouloudia très chère à Fréha, H’mida, Krimo, Djelly, Ounes, Mehdi, Belkedrouci, et entre autres Hadefi, Beddiar… Et la liste est très longue.
L. Bouhala
10 novembre 2011
AIN LAHDID, sport