PAR B. KAMEL CORRESPONDANT DE LA VOIX
L’intelligentsia Tiartie a été, hier, la grande absente à la maison de la culture pour avoir raté sous le coup de la bêtise humaine un rendez vous avec l’écrivain, sociologue, ethnologue anthropologue et chercheurs dans les cultures en l’occurrence le Dr Roes Michaël. Inscrite sur les tablettes la conférence à Tiaret intervient sur initiative de l’AARC avec l’institut Goethe et l’ambassade d’Allemagne à Alger pour la lecture allemande dans toute sa dimension pour aller au delà de toutes les frontières. n panel de romans puisés dans les profondeurs de la polyvalence linguistique et les cultures plurielles dans lesquelles toute la beauté de la langue arabe s’est imposée devant la mythologie grecque. En effet, l’écrivain allemand par faute de public averti s’est retrouvé comme même face un chapelet d’intellectuels pour lire son « Weg nach Timimoun » (le chemin vers Timimoun), « Rub El Khali » ou encore raconter son premier long métrage (Someone is sleeping in my pain) tourné en Amérique et au Yémen . Dans son intervention Roes s’est dit un homme de culture universelle, sinon quelqu’un qui se délecte du savoir comme le sont tous ces algériens qui gravitent autour de la curiosité saine. Michael Roes est né en 1960 à Rhede en Westphalie, docteur en 1991 obtint son doctorat puis chercheur à l’institut for Advanced Studies de Budapest. Ayant séjourné en Algérie fut impressionné par la ville de Timimoun une cité qui l’attire et le fascine pour sa beauté naturelle et son humanisme pour finir par l’aimer et lui consacrer un roman puis un film «le chemin vers Timimoun». Enfin l’écrivain ne semble pas s’arrêter, ni rompre encore moins se mettre dans la peau d’un défaitiste mais part pour d’autres pérégrinations pour aller raconter « l’histoire de l’amitié»
8 décembre 2011
Culture