Mardi, 06 Décembre 2011
Une autre affaire vient d’éclabousser l’entreprise, où 12 cadres ont été interrogés par le juge d’instruction pour une affaire liée à la conclusion de contrats non conforme au code des marchés publics.
Décidément, le feuilleton relatif à la confusion que connaît Algérie Télécom de Tiaret est loin de connaître son épilogue, quand on sait que le désarroi a inéluctablement refait surface ces derniers jours en ciblant le chef du département commercial.
Plusieurs employés d’Actel, à l’origine de l’appel, évoquent des maltraitances vis-à-vis du personnel et des décisions aberrantes aux conséquences désastreuses pour l’offre de service, dont ce dernier est tenu comme seul responsable. Des agissements qui ont poussé certains cadres à formuler leur désistement des postes occupés sous sa houlette, pour les uns, et la dénonciation de son comportement jugé incohérent pour les autres.
Dans ce contexte, une pétition signée par près d’une trentaine de travailleurs, dont une copie a été remise à notre bureau, résume tous les reproches à l’endroit du chef de département.
Déjà impliqué dans une sale affaire qui a consisté en l’octroi, à titre gracieux, d’une ligne ADSL au profit d’une crèche en usant d’une tactique pour le moins extravagante, le responsable commercial a récidivé en opérant par une stratégie presque similaire pour accorder une ligne ADSL au centre équestre pour des honoraires comptabilisés comme ceux appliqués pour des associations, à savoir un statut particulier au lieu du professionnel. Une enquête interne a été déclenchée par l’inspecteur général de l’entreprise, et l’aboutissement n’est pas encore connu pour des raisons qui laissent libre cours à une série d’interrogations. “Alors que nous sommes presque en 2012, où la créativité et l’innovation doivent constituer des facteurs clés de l’efficacité et de la force compétitive de notre entreprise, de tels cadres (le CDC, Ndlr) ne trouvent comme seule préoccupation que leur intérêt personnel”, s’indigne l’un des signataires de la pétition citée. Par ailleurs, certaines indiscrétions font état d’une autre affaire qui a éclaboussé l’entreprise, où 12 cadres ont été interrogés par le juge d’instruction pour une affaire liée à la conclusion de contrats non conformes au code des marchés publics, dont ceux attribués sous le sceau de l’urgence au gré à gré, dilapidation de deniers publics et faux et usage de faux. Un dossier pour lequel l’ancien coordinateur de l’entreprise a payé les frais rubis sur l’ongle. Les cadres mécontents de cette situation s’interrogent sur le mutisme de la tutelle.
R. SALEM
19 décembre 2011 à 21 09 24 122412
n’importe koi se probleme a tiaret algerie télécom n’est pas un entreprise s’est toujours fonction public le jour ou il y’a une volentée politique de
libéré le secteur une machine a sou est ils veulent nous faire croir qu’elle a des problemes..un sous directeur touche presque 15 million alors un ingén bosseur touche 5million s est ce que s’est NORMAL???????