Nouveau commentaire sur l’article #10704 « Elections législatives Ahmed Kacem conduira la liste RND à Tiaret »
Auteur : Hamzaoui Benchohra
E-mail : benchou_100@yahoo.fr
RND Tiaret
1.Chouf ya Ahmed Rien ne va plus dans les couloirs de la Bâtisse du gouverneur Ahmed Ouyahia à Tiaret, démissions, permanences cadenassés et le désarroi d’une poignée de membres fondateurs du RND, militants et élus ont tenu au cours de cette semaine une réunion extraordinaire en urgence pour interpeller le Secrétaire général sur la liste ficelée par le coordinateur de la wilaya de Tiaret.
2.Chouf ya Ahmed .Ils s’interrogent Si Ahmed sait – il ce qui se passe chez lui lors de la validation de la liste définitive Selon certaines sources proches du parti les présents sont sortis avec une plate forme de revendications, ils dénoncent la <> , ces derniers accusent le numéro un local d’avoir bafoué le statut du recèlement intérieur et le non respect des instructions du SG Ahmed Ouyahia .
3.Chouf ya Ahmed. Ils disent ne pas comprendre pourquoi le coordinateur de la wilaya a accepté la candidature du Flniste Kacem Ahmed titulaire d’un niveau du cycle moyen , Taleb dans une école coranique au patelin de Meghila positionné à la 29èmè en 2007 ce que confirme le bulletin de vote dont la copie récupérée des archives de la mouhafadha de Tiaret .
4. Chouf ya Ahmed Cette tête parachutée nous dit – on a divisé les rangs du parti dont les actuels élus ont préféré de rejoindre d’autres cieux à l’image du bâtonnier Ghoul actuel vice président à l’APN (remplaçant feu Boutouiga) , Zeeroukhi Benchohra tête de liste Karama , l’avocat Mechri liste indépendante , Yahimi , vice président à l’APW rejoint le camp des redresseurs du FLN et autres .Le plus grave la seconde place réservée a un ami proche du sénateur originaire de Sougueur , ce dernier assure la fonction d’agent de bureau ( Impôts ) dont nous indiquent les notables de la région .
5.Chouf ya Ahmed Le comble la représente de la gent féminine, assure la fonction d’une archiviste du centre universitaire la princesse Mechkour Nebia oui je confirme Machkour et je le confirme mille fois Mechkour ça vous dit rien Mechkour (concorde civile oblige) crie le proviseur du lycée Med DIB , cette créature humaine est positionnée à la 3 eme place pour écarter les fondatrices du RND à l’image d’un docteur Kail Najat , Bouchiba Zohra , Bougaa ( CFPA) et Alliane le pur produit de l’UNFA .
6.Chouf ya Ahmed. Qui est responsable de ce scandale au sein du parti crie en haut un militant <> Selon le chef de file nous avons décidé de nous regrouper et faire appel au secrétaire général pour faire la lumière sur la liste pelotée par un arriviste Flniste avec un niveau du cycle et moyen et les fondateurs ont été écartés purement et simplement par le coordinateur local.
7.Chouf ya Ahmed Une tourmente au sein du parti du gouverneur qui risque de laisser les plumes lors des prochaines législatives nous allons voter massivement avec une forte participation mais avec un bulletin vierge dans la capitale rostomide et travers les quatre coins de l’AlGERIE et pour cause c’est une vraie guerre des tranchées dans les sphères des rangs du RND. A l’heure ou nous mettons sous presse selon une source proche une rencontre des 42 coordinateurs communaux sera tenue au cours de cette semaine à Ksar chellala suite a une décision prise par les nationalistes de la région.
8.Chouf ya Ahmed Cette décision a été prise nous dira un membre actif au mouvement associatif Ahmed Kacem tête de liste ,B .Kacem chargé de la communication , C.Kacem cameramen , D.Kacem photographe , El-Kacem brigade des colleurs , F. Kacem chargé de la sensibilisation de la Femme . G.Kacem garagiste et l’homme au gourdin du parking ……
9.Chouf ya Ahmed la liste est longue ou figurent les K , et Q , pour une course des sanafirs dans la cour des grands ou sont inscrits dans le corps électoral pas moins de 320 électeurs proches de la tête du peloton Si Ahmed Kacem et la question qui se pose aujourd’hui Si Ahmed Ouyahia sait – il ce qui se passe à Tiaret , la réponse nous le confirmera Si Ahmed ould chérif le 10 mai prochain .
10.Chouf ya Ahmed. Une vraie masrahia en 10 actes, le onze 11 à suivre ya ami Ahmed
Hamzaoui Benchohra
31 mars 2012 à 18 06 10 03103
La fantastique «trahison» de Ahmed Ouyahia
Par El-Kadi Ihsane , Le Quotidien d’Oran, 16 octobre 2003
Il était l’énigme politique de l’été. Il ne le restera pas jusqu’à la fin de l’année. Ahmed Ouyahia a bel et bien changé de tutelle politique. Enquête de personnalité sur une «trahison» fantastique qui prend à rebrousse-poil les thèses sur la rigidité du régime algérien.
Il était l’homme politique préféré et protégé des chefs de l’armée algérienne. Il est désormais un serviteur loyal du camp présidentiel. Le commentaire laconique du général en retraite Khaled Nezzar à son sujet – interview au Soir d’Algérie – révélait bien l’étendue du dépit «qui vivra verra !». Il n’y a plus de doute, Ahmed Ouyahia a trahi son clan historique: la brochette de généraux qui ont poussé le président Chadli à la porte pour en découdre avec le FIS à huis clos. Dans le but de nous sauver d’un destin iranien. Sa «trahison» lumineuse est la grande nouvelle «tactique» de l’année. Les généraux Nezzar, Lamari, Toufik, Touati et les autres peuvent être, en 2003, révoqués par un poulain de leur élevage. Car, que l’on ne s’y trompe pas, Ahmed Ouyahia a été pris au berceau. Dès l’Ecole nationale d’administration (ENA) à laquelle il doit son début de carrière dans la diplomatie. Il n’a jamais fait de mystère de son compagnonnage avec la sécurité militaire et son héritier le DRS. Serviteur zélé de l’Etat. A «l’habilitation» des services il doit une carrière fulgurante qui le mène des affaires étrangères au cabinet de la présidence puis à la tête du gouvernement en moins de cinq ans. Il la doit aussi sans doute à une capacité de travail reconnue largement au-dessus de la moyenne standard de la haute administration algérienne. Lorsque la famille de ses parrains s’est déchirée en 1997-1998 autour du contrôle du RND et du pays, il ne s’est pas trompé de côté de rue. Il a choisi Lamari et Toufik contre Zeroual et Betchine. Ahmed Ouyahia est intelligent. Il sait, mieux que la météo, faire des prévisions politiques supérieures à la semaine. Cette fois le choix était infiniment plus complexe. Bouteflika – Belkheir contre le reste de l’armée. Peu évident. La matrice du parrainage politique de Ahmed Ouyahia est toujours du même côté: ministère de la Défense nationale. Mais que dit le temps politique? Manifestement, il n’est pas brillant pour l’avenir des décideurs de 1992-1999. C’est sans doute la lecture qu’en a fait Ahmed Ouyahia avant de décider de se ranger du côté de Abdelaziz Bouteflika.
C’est, au fond, le bon sens même. Ahmed Ouyahia y a sûrement réfléchi. Pourquoi doit-il lier le sort de sa carrière politique à des généraux vieillissants, en retraite pour les uns, à quelques encablures de l’être pour d’autres, et qui ne sont pas certains de pouvoir librement voyager dans le monde dans les années qui viennent car certains de leurs actes «de gestion des vies humaines» les poursuivront ? Ahmed Ouyahia, s’il veut devenir «le Poutine algérien» que l’on nous a promis, devait s’émanciper de son «Boris Eltsine» ou de son KGB, un jour ou l’autre. C’est arrivé cette année. Plus vite que prévu. Mais qu’est-ce qui a bien pu se passer dans la tête du chef du gouvernement pour qu’il décide ainsi d’aider le président – adversaire de sa maison mère au risque de s’exposer à la pire des vendettas comme d’ailleurs le lui rappellent les propos sibyllins de Khaled Nezzar ? Rien.
Ahmed Ouyahia a tout simplement observé l’évolution des rapports de force entre le nouveau président civil, Bouteflika, et les anciens généraux qui tiennent le pays depuis 1992. Il a vu que ses protecteurs n’ont pas pu lui éviter en 2002 l’effondrement de son parti, le RND, passé en un jour de 155 à 48 députés à l’Assemblée nationale. Personne n’a rien pu pour lui. Zerhouni, le ministre de l’Intérieur, a laissé jouer les urnes et la façade RND a explosé. C’est sans doute déjà en ces journées pénibles de début juin 2002 où, sous les quolibets de la déconfiture électorale, il a dû quitter l’hôtel du Mouflon d’Or laissant le congrès du RND sans tête, qu’il a pris sa résolution: si les généraux ne peuvent pas plus que cela pour moi, alors mon avenir est ailleurs. Et puis, c’est l’air du temps qui le veut. Bouteflika surfe sur la vague impériale américaine, il a des amis au Texas, à Paris et dans le Golfe arabe. Là où ça compte… finalement plus qu’aux Tagarins et à Dely Brahim. En choisissant Bouteflika, Ouyahia l’a joué «branché». Car, devine-t-il, il devient ringard d’avoir des parrains nationaux, militaires a fortiori. Alors si en plus ils n’apportent plus aucune garantie de succès électoral…
Le passage de Ahmed Ouyahia – un homme politique qui compte – de «sous une tutelle militaire» à «sous une tutelle civile» est un événement important. Il pourrait signifier que le pouvoir réel glisse lentement du côté du pouvoir formel. Les politiques civils – en l’occurrence le camp présidentiel aujourd’hui – auraient les moyens de se protéger de l’influence jusqu’ici décisive de l’armée.
La trahison de Ahmed Ouyahia, le Poutine algérien, outre le fait qu’elle le fait plus ressembler désormais à Nicolas Sarkozy lâchant son «père» Chirac pour Balladur en 1995, serait donc – à l’échelle du sérail – un acte fondateur d’une modernité politique. Pas tout à fait, hélas. Car le style, lui, ne s’est pas émancipé. Il est toujours totalement vissé sur le seul objectif de durer et d’obtenir de l’avancement. Un peu comme à la caserne. Il faut donc se faire tout petit. La preuve ? Ahmed Ouyahia apprend comme tout le monde les noms des ministres du gouvernement qu’il dirige à la télévision. Ou presque. La Constitution dit pourtant que c’est lui qui propose les ministres au chef de l’Etat qui les nomme. Avec Ahmed Ouyahia bis, la fonction de chef du gouvernement, martyrisée depuis 10 ans, plonge un peu plus vers le service d’étage. Tous les moyens ne sont pas bons pour arriver. Même en politique.
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31 mars 2012 à 18 06 08 03083
Cursus professionnel et fonctions politiques
De 1975 à 1981 : Secrétaire d’État aux Affaires étrangères.
De 1981 à 1984 : Conseiller aux affaires étrangères à l’Ambassade d’Algérie à Abidjan.
De 1984 à 1989 : Conseiller à la mission permanente de l’Algérie auprès de l’ONU (New York).
De 1988 à 1989 : Représentant adjoint au Conseil de sécurité des Nations Unies.
De 1989 à 1990 : Conseiller au Cabinet du Ministre des Affaires étrangères.
De 1990 à 1991 : Directeur général Afrique à l’administration centrale du ministère des Affaires étrangères.
De 1992 à 1993 : Ambassadeur au Mali.
De 1993 à 1994 : Secrétaire d’État à la Coopération et aux Affaires maghrébines.
De 1994 à 1995 : Directeur de Cabinet de la Présidence de la République.
De 1995 à 1998 : Premier ministre.
Depuis juin 1997 : député à l’Assemblée Populaire Nationale.
De 1999 à mai 2002 : ministre d’État, ministre de la Justice.
De juin 2002 à mai 2003 : ministre d’État, représentant personnel du Président de la République.
De 2003 à 2006 : Premier ministre.
depuis juin 2008 : Premier ministre.
En marge de l’exercice de ses fonctions diplomatiques et gouvernementales, il a été notamment :
Médiateur au nom de l’Algérie dans le règlement du conflit du Nord du Mali en 1992.
Médiateur au nom du Président de l’OUA dans le règlement du Conflit Éthiopie-Érythrée 1999-2000.
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31 mars 2012 à 18 06 08 03083
Patrimoine personnel
Le jour même de la présentation de sa démission, le 24 mai 2006, Ahmed Ouyahia a satisfait une obligation légale concernant ses biens. L’ancien Premier ministre a fait sa déclaration de patrimoine publiée dans le Journal officiel n° 49 (publié le 2 août 2006).
Selon cette déclaration, il possède une villa à Hydra acquise entre 1997 et 2002 pour un montant de 1,7 million de dinars. Il n’a aucun autre bien immobilier, aucun véhicule et aucun placement, selon la déclaration certifiée. Pour les liquidités, il a déclaré dans son compte auprès du Trésor un montant de 600 000 dinars
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31 mars 2012 à 18 06 07 03073
Politique nationale
Homme du sérail, réputé proche des militaires au pouvoir6, il est nommé Premier ministre le 31 décembre 1995 par le président de la République, Liamine Zéroual, poste qu’il conserve jusqu’au 15 décembre 1998, lorsque le président Liamine Zéroual annonce qu’il ne se représentera pas pour l’élection de 1999. Alors qu’Abdelaziz Bouteflika est élu président de la république en décembre 1999, il est nommé Ministre d’État et ministre de la justice du premier gouvernement de Ali Benflis. Leader du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia est élu secrétaire générale du parti. Durant le conflit entre l’Éthiopie et l’Érythrée, le président Bouteflika, alors président de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), le charge de mener les négociations de résolution du conflit qui aboutissent à la signature d’un accord de cessation des hostilités à Alger en décembre 2000.
Ahmed Ouyahia remet sa démission au président après la défaite de son parti, le RND, aux élections législatives de juin 2002. Il est nommé ministre d’État du nouveau gouvernement, et représentant spécial du président, poste honorifique mais sans budget ni pouvoir de décision.
Après la crise politique entre le président Bouteflika et Ali Benflis, devenu un sérieux prétendant à la présidence, ce dernier est écarté et Ahmed Ouyahia est nommé chef du gouvernement pour la seconde fois. Il remet sa démission le 24 mai 2006, après des négociations entre les partis de la « coalition présidentielle », son parti, le RND, le FLN et le MSP.
Actuel chef du gouvernement, il a été nommé à ce poste le 24 juin 2008 par le président Bouteflika en vue de la mise en scène de la révision de la Constitution, mission accomplie le 13 novembre 2008, permettant ainsi à Bouteflika de briguer un troisième mandat.
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31 mars 2012 à 18 06 07 03073
Mission diplomatique
En 1978, il entre à la présidence de la République au département des affaires africaines en tant qu’administrateur stagiaire1. Il est ensuite envoyé, en 1981, comme conseiller aux affaires étrangères à l’ambassadeur d’Algérie en Côte d’Ivoire, puis en 1984, à la direction de la Mission permanente de l’Algérie aux Nations unies à New York. De 1988 à 1989, il devient co-représentant algérien au Conseil de sécurité des Nations unies, puis le 3 novembre 1990 il est nommé comme chargé d’études au cabinet du ministre des des affaires étrangères, Sid Ahmed Ghozali à Alger2 avant de devenir moins d’un mois plus tard le directeur général du département africain du ministère le 25 novembre 19903.
Il dirige le département Afrique jusqu’au 15 septembre 19924 lorsqu’il est envoyé comme ambassadeur au Mali5 chargé de négocier la paix comme intermédiaire dans le conflit entre le gouvernement malien et le mouvement Touareg, Azaouad, et abouti avec la création du traité de « Pacte national » de Bamako. Il est rappelé en Algérie en août 1993 pour servir dans le gouvernement de Redha Malek comme sous-secrétaire d’État aux affaires arabes et africaines. Il entre en avril 1994, en pleine décennie noir, au cabinet directeur du président, alors en exercice, Liamine Zéroual, où il est chargé des affaires politiques, notamment pour les négociations avec le Front islamique du salut (FIS) et la préparation de l’élection présidentiel de 1995 que le président Zéroual remporte en novembre 1995.
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31 mars 2012 à 18 06 06 03063
Biographie
Enfance et éducation
Ahmed Ouyahia est né le 2 juillet 1952 à Bouadnane (commune d’Iboudraren) dans l’actuelle wilaya de Tizi-Ouzou, en Kabylie, région berbèrophone du nord de l’Algérie. Après des études primaires à Alger de 1958 à 1965, il entre au lycée El-Idrissi et obtient le baccalauréat ès-lettres en 1972. La même année il passe le concours d’entrée à l’École nationale d’administration d’Alger, qu’il réussit, parmi les trois premiers avec un certain Ahmed Attaf (futur ministre des affaires étrangères et membre du RND). Il se spécialise alors dans la diplomatie et est diplômé d’études supérieures en sciences politiques en 1976. Il fait son service de 1977 à 1978, qu’il passe à l’enceinte d’El Mouradia de la présidence algérienne où il intègre l’équipe des relations publiques.
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31 mars 2012 à 18 06 06 03063
Ahmed Ouyahia, (en arabe أحمد أويحيى), né le 2 juillet 1952 à Bouadnane dans l’actuelle wilaya de Tizi-Ouzou, en Kabylie, est un homme politique algérien.
Haut fonctionnaire, secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) depuis 1999, il a été Premier ministre de l’Algérie de 1995 à 1998 et de mai 2003 à mai 2006. Puis il redevient chef du gouvernement algérien depuis le 23 juin 2008, remplaçant ainsi Abdelaziz Belkhadem en formant le gouvernement Ouyahia VI. Au cours de son mandat de chef du gouvernement, Ouyahia remanie à plusieurs reprises son équipe gouvernementale et compose alors le gouvernement Ouyahia VII, puis le gouvernement Ouyahia VIII et IX.
Ahmed Ouyahia est diplômé de l’École nationale d’administration en 1975 et diplômé d’études supérieures en sciences politiques à Alger.
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31 mars 2012 à 18 06 05 03053
Le Rassemblement national démocratique est un parti politique algérien dirigé par l’actuel premier ministre Ahmed Ouyahia qui soutient la politique du président Abd El-Aziz Bouteflika.
La coalition au pouvoir est menée par le président du RND, Ahmed Ouyahia. Lors des élections parlementaires de 2002, le RND a reçu 9,5 % des voix et 47 sièges sur 380. Le RND a formé une alliance parlementaire appelée « alliance présidentielle » en 2005 avec l’ex-Hamas (désormais Mouvement de la Societé pour la Paix) de Bouguerra Soltani et l’ancien parti unique, le Front de libération nationale du président Bouteflika.
Historique
Le parti fut créé le 21 février 1997 à la veille des élections législatives algériennes de 1997 par des proches du général-président Liamine Zéroual. Il remporta une étonnante victoire avec 156 sièges sur les 380 que compte le parlement. Lors de sa deuxième sortie en 2002, le RND passe à 47 sièges.
Le RND est considéré comme étant le parti du pouvoir (avec le FLN) et plutôt de droite. Il compte en son sein une majorité de hauts fonctionnaires de l’État et de l’administration. Le RND est lié aux grands milieux d’affaires et partisan de privatisations dans l’économie.
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