AU NIVEAU DES CRMA À L’ÉCHELLE NATIONALE L’INDEMNITÉ SÉCHERESSE, QUI RELÈVE DE L’ASSURANCE INTÉGRALE DEPUIS L’ANNÉE 2000, LAQUELLE ÉTAIT SUBVENTIONNÉE PAR L’ETAT DONT L’APPORT EST POTENTIELLEMENT CONSÉQUENT, EST ABSENTE, APPREND-ON AUPRÈS D’UNE SOURCE TRÈS PROCHE DU DOSSIER.
La vraie norme de l’assurance intégrale comprend trois catégories, à savoir l’incendie, la grêle et la sécheresse qui dépendait du FGCA, au niveau du ministre de l’Agriculture et l’octroi de l’indemnité sécheresse pour l’heure attend l’aval du ministère des Finances après les dépôts des dossiers et pour faire face à l’assurance sécheresse, la collaboration des fellahs au niveau national serait d’un précieux concours et c’est la condition sine qua non pour la création d’un établissement financier qui assure d’un côté la survie de la CNMA et d’un autre pour faire bénéficier les fellahs de l’assurance sécheresse, apprend-on auprès de sources proches de la CNMA, qui ajoutent qu’un montant de 10 milliards de dinars algériens suffirait à la création de cet établissement financier et qui permettrait son agrément au niveau de la Banque d’Algérie. Il convient de signaler que le montant exigé par la banque nationale est un ensemble de lots d’une valeur de 2000 DA au niveau de chaque CRMA d’où une exigence de forte adhésion des fellahs qui semblent ne pas être animés par cette thèse malgré les campagnes de sensibilisation menées tambour battant.
2 avril 2012
Abdelkader.Berrebiha, AGRICULTURE, NOUVELLE REPUBLIQUE (LA )