Le 22/4/2012 -> A LA UNE -> Régions -> Ouest
Le 15 Octobre 2001, date précise à laquelle une bénéficiaire, madame veuve Yahia Lâalia, mère de treize enfants, habitant à la cité « communale », avait honoré tous les droits réglementaires de l’achat d’un lot de terrain auprès de l’agence foncière de la daïra de Dahmouni, lieu de résidence de la plaignante. Après avoir déposé son dossier, et formulé une demande de permis de construire auprès de l’APC, sa surprise fut grande, lorsqu’elle apprit qu’une action judiciaire était lancée contre elle par un prétendant bénéficiaire d’une extension touchant même une bonne superficie du lot acheté par la dame par arrêté et décisions, prouvés et approuvés par un notaire au profit de cette dernière. En effet, après de moult requêtes déposées auprès de l’instance communale pour connaître les raisons ayant trait à ce blocage, la malheureuse femme ne cesse de frapper à toutes les portes, même à celles de la justice, mais en vain. La dame en question s’est présentée à notre bureau pour dénoncer la « Hogra » par laquelle elle s’est retrouvée privée de ses biens acquis en bonne et due forme. Selon ses propos confirmés, son adversaire n’est autre que son voisin ne possédant aucune justification légale pour bénéficier de l’extension, monté par les décideurs affaire litigieuse (?!). En sus de cela, même les services de l’agence foncière ignorent cette affaire tout en attestant à travers des documents officiels, dont des copies sont déposées à notre bureau, sur lesquelles il est écrit, bel et bien, conformément aux dispositions réglementaires, le directeur et le chargé des études de l’ex-agence foncière de la daïra de Dahmouni, sous signent qu’en dépit du constat des documents techniques et réglementaires, avoir procédé le 14 octobre 2001 aux opérations de bornage d’une superficie de 221.12 M², y comprise l’extension au profit de la bénéficiaire Y. Lâalla, habitant à la cité communale de Dahmouni. Aujourd’hui, elle se pose la question, qu’à travers tous les documents administratifs et, surtout, de l’acte de propriété notarié, sur quelle base le prétendant acquéreur a-t-il pu ester en justice une propriétaire avant hérité le bien de son défunt mari qui avait laissé derrière lui, quatorze enfants.
L.Bouhala
23 avril 2012
ASSEMBLEES, Carrefour d-ALGERIE (Le ), DAHMOUNI, L. Bouhala -