Le CRB Hennaya, après avoir ramené une pré cieuse victoire de son long et périlleux déplacement de la Saoura face au MC Debdada, attend toujours le traitement de son dossier qu’il avait déposé auprès du TAS, car selon les responsables, seule une décision de cette instance leur permettrait d’y croire toujours à cette accession, et avec le rythme où va le reste de ce championnat ils ne voient pas comment ils pourraient prétendre à jouer la saison prochaine au palier supérieur. Pour en revenir à la rencontre du week-end dernier, le coach Aberkane avait reconnu que ce fut une rencontre très difficile pour les deux camps, dans la mesure où les deux antagonistes avaient besoin des trois points pour des objectifs différents. « En première période, les gars de Debdaba étaient plus coriaces en attaque, ils ont réussi à nous créer beaucoup de problèmes durant presque la totalité de cette première période, mais sans réussir à inscrire de but. De retour des vestiaires, mes poulains ont continué, et n’ont jamais baissé les bras, et cela a fini par payer avec cette victoire. Maintenant il faut rester concentrer sur le reste du championnat ». Pour sa part le président M. Kendouci Samir, dira que son club attend toujours la moindre information de la part du TAS, après avoir été débouté par la LNFA (Ligue National de football amateur), qui avait confirmé la décision de la LIRF, et d’ajouter, «on souhaiterait avoir une réponse du TAS pour être précis sur notre sort. Maintenant, si on a droit de rejouer le match, il faudrait d’ores et déjà le préparer, car il ne reste que deux journées au championnat, et on ne sait pas encore. Maintenant si on devrait rater cette accession pour une accusation dont le CRBH n’est pas responsable, et qu’on avait voulu salir sa réputation, alors là, je dirais dommage car nous l’avons raté par la faute d’un arbitre qui nous avait gratuitement salis, et nous avait lésés sur notre pelouse, mais ce n’est pas grave, et on le laisse devant sa conscience, s’il en a, car c’est une année de travail qui est partie en fumée, et ce n’est pas le moment de polémiquer, car nous croyons toujours en la justice de notre pays ». OB. Stambouli
24 avril 2012
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