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Qui ne dit mot consent : Adultères, Fornications et autres concepts annexes

14 juillet 2012

Droit de réponse, REFLEXION

« Une norme tire son sens, sa fonction et sa valeur du fait de l’existence en dehors d’elle de ce qui ne correspond pas à l’exigence qu’elle sert. »-
G.Canguilhem, Le normal et le pathologique 

Votre  édition du 08 Juillet 2012  a  rapporté des faits au sujet d’un maire dont le nom ne sera probablement jamais porté à une opinion publique qui (de droit ) devrait en être informé lorsque la presse détient des éléments qui peuvent constituer des preuves. Il  est évident que de son côté la Justice fasse  son travail  de la manière la plus sereine et professionnelle possible pour juger de  la  qualité  des faits et des mesures à prendre, néanmoins le  rôle de la  Presse ne se limite pas à communiquer avec la société civile de manière sibylline  où il s’agit pour le lecteur de se prêter à un jeu de pistes , de charades ou de devinettes.  Le rôle de la presse n’est pas non plus de se soumettre implicitement  à une Justice  susceptible de quelque manière de  brider une ligne éditoriale. Lorsque les faits sont de nature à représenter une vérité,  la presse ne doit pas s’imposer à elle même des arguments rédhibitoires, tels que l’honneur de la famille, pour ne faire son métier qu’à moitié. Si honneur et intégrité il y avait, et vu la concupiscence  outrageusement ostentatoire que ces messieurs exhibent, ce serait rendre service à la vertu elle même, à la famille et à la société toute entière, que d’aller jusqu’au bout de sa logique pour l’informateur. Si l’on se mettait à supposer, imaginer , ou prendre conscience de délits et de crimes sans connaitre jamais leurs auteurs , il n’y aurait plus ni de liberté de presse totale ni d’effets moralisateurs et dissuasifs induits par l’information car aucune information n’est neutre. La vérité (minutieusement vérifiée et avérée) demeure l’unique exigence omnipuissante et au-dessus de toutes les autres considérations , une entière vérité que la presse doit au public  sinon le jour ou les électeurs cesseront  de se préoccuper de la moralité de leurs élus ou lorsque la Justice estimera qu’il n’y a pas lieu d’exercer ses activités dans un cadre où règne la transparence , l’information et la communication , le pacte social qui a du mal à se maintenir , se rompra définitivement s’il n’est pas déjà rompu. Ne pas mettre un nom, une identité sur les auteurs de faits répréhensibles, c’est inciter la société civile à douter de tous les élus et à se défier de l’institution elle-même. Votre Journal a déjà rapporté des faits de ce genre au sujet d’élus compromis dans des affaires de mœurs. Personne n’a jamais connu les suites qui ont été réservées à ces  affirmations qui, faut-il le préciser, constituent des accusations qui   auraient dû  déboucher sur des poursuites judiciaires ou des non-lieux. Je me permets de relever ici ces observations laconiques (chose assez aisée et prétentieuse)  à l’intention des prévaricateurs et de  notre responsabilité à tous (Presse, Justice, Société) de tenter de préserver dans la société  un minimum de moralité.
Quant à la prévarication, c’est autre chose. C’est un combat qui n’est jamais gagné d’avance  car celui-ci ne dépend ni de la Presse  ni de la Justice. La prostitution semble avoir envahi toutes les sphères de la société algérienne, Universités, administrations publiques, plages, Hôtels, forets.
Les côtes algéroises et notamment celles de Tipaza ont défrayé la chronique ces dernières années. Précisons toutefois que ce phénomène n’est en aucun cas lié à une région particulière. Il touche même les villes les plus conservatrices, au sud comme au nord, à l’est comme à l’ouest.
Mais encore faudrait-il mettre sur chaque comportement le concept adéquat. Ce que l’éthique et la morale réprouve n’est pas forcément accrédité par la Loi à fortiori que ce que nous réprouvons sous  le prisme de nos  » Règles normatives »  tend à devenir sinon licite du moins irréductible à une quelconque référence juridique. Si la Religion considère et condamne dans la prostitution  toute relation sexuelle sans exclusive qui s’effectue en dehors des liens du mariage, le Droit positif   ne considère comme répréhensible dans  cette activité  que le projet ou l’intention d’en tirer rémunération, ce qui fonde d’ailleurs  sa définition juridique un peu partout en Europe. La Loi réprouve  dans cette activité  moins  son côté « immoral » qui relève d’un ensemble de valeurs versatiles qu’un certain ordre public qu’il s’agit de préserver. Ce ne sont plus donc des règles éthiques  qui  déterminent  notre capacité et légitimité à réagir légalement  mais sans cesse de nouveaux paramètres, de nouveaux paradigmes.
Durkheim disait : « Un acte est criminel quand il offense les états forts et définis de la conscience collective ». Peut-on parler ici de concepts en évoquant ces faits sociaux  qui tantôt   »choquent nos consciences », tantôt c’est plutôt notre conscience qui se force à leur trouver des réajustements sémantiques et conceptuels et à abolir ce qu’il y a en eux de choquant et de répréhensible. Bien évidement, il ne s’agit que de concepts amovibles  irrémédiablement subordonnés à notre généalogie des valeurs, à l’appréciation de notre  » Surmoi » du moment  qui façonne nos réactions, nos comportements et même nos « Règles normatives » et nos Lois.
«Le normal n’est ni un concept statique ou pacifique, mais un concept dynamique et polémique »(1) 
La fornication, l’adultère où l’homosexualité étaient autrefois sévèrement punis par les trois religions monothéistes.(2) C’était la Lapidation jusqu’à la mort, le bûcher, le fouet et autres sévices qui décourageaient plus d’un. Aujourd’hui, nous baignons dans un monde où cet ancien  système de valeurs est carrément obsolète et rétrograde. En France, depuis la Loi du 11 juillet 1975, l’adultère a  été dépénalisé et ne constitue parfois qu’une simple cause de divorce. Plus rien n’empêche donc chaque personne, homme ou femme,  de satisfaire à volonté les appels de sa libido avec le ou les partenaires de son choix, et tout ceci sans qu’aucune  Loi ne vienne sévir ou moraliser ces comportements désormais complètement adaptés et conformes à la morale et à un système de valeurs et de  normes contemporaines.
Quant à la prostitution, celle-ci n’est plus répréhensible, à condition que la prostituée travaille seule, de façon indépendante, soit propriétaire du local où elle exerce et ne trouble pas l’ordre public. Seuls le racolage ou le proxénétisme demeurent des infractions. Encore faudrait-il que l’on arrive à mettre sur tels comportements suspects des incriminations le plus souvent éthériques.
L’homoséxualité a également été fortement condamné par la Religion qui réservait le plus souvent la peine capitale  pour les sodomites. Depuis, ces « Règles normatives » sur lesquelles nous agissons et qui à leur tour façonnent nos mentalités ont fait passer l’homoséxualité du stade  de l’abomination au stade de la tolerance ,  de la dépénalisation  pour arriver finalement à instaurer carrément des droits assez conséquents pour les homoséxulels. (3)
Le code penal algérien prévoit pour l’adultère une peine qui oscille entre une à deux années d’emprisonnement, sachant toutefois que la poursuite n’est engagé que sur plainte du conjoint offensé et que le pardon de ce dernier met fin aux poursuites. Quant à la prostitution et autres attentats aux moeurs y compris l’homoséxualité, les normes juridiques algériennes prévoient toujours des condamnations assez sévères à condition que l’on réussisse à adapter à chaque situation l’incrimination qui lui correspond. Dans la societé algérienne , la prostitution n’est plus considérée comme telle lorsque celle-ci se cantonne à une relation  entre deux personnes consentantes qui évitent cette publicité qui potentialise le caractère délictuel de l’acte. Il s’agirait seulement de ne pas troubler l’ordre public ,un voisinage trop puritain , d’éviter de se retrouver à plusieurs dans des lieux qualifiés de débauche , de  faire de cette activité un commerce lucratif  ou de s’en prendre à des mineurs ou à des personnes non consentantes. Pour le reste, chacun est libre de satisfaire ses desirs dans une societé où l’on doit faire des efforts pour preserver cette équilibre éssentiel entre des textes théoriques toujours répréssifs et des moeurs qui aspirent à s’affranchir d’un passé rigoriste.
On  doit une fière chandelle à Durkheim ainsi qu’à toutes les autres chapelles sociologiques pour  nous avoir  renseigné sur  Le « Normal » et le « Pathologique ou Déviant » ainsi que sur  ces structures régulatrices et légiférantes  qui modulent nos pensées et nos actes. De la peine de mort à des reactions aussi clémentes on peut dire que l’humanité s’est résignée à des concessions considérables.

 » Et moi, je vous dis : quiconque regarde une femme avec convoitise a déjà, dans son cœur, commis l’adultère avec elle. «   (Evangile, Matthieu 5. 27-28) , Le Coran recommande aux croyants de baisser leur regard et de garder leur chasteté ( Sourate 24-Versets 30/31).
D’un simple regard ou d’une pensée furtive qui pouvaient à coup sûr vous envoyer en enfer, terrible menace qui maintenait en otage vos sens les plus basiques, on se retrouve aujourd’hui complètement démunis, livrés à nous mêmes avec ce Droit écrasant et la possibilité de proposer nos vertus au premier démarcheur qui cogne à la porte. Ne vois-tu pas mon frère que l’Humanité a mûri et que ses prédicateurs étaient tous des cinglés ?
Ces« Règles Normatives » étaient tellement puissantes qu’elles se permettaient de s’immiscer et fouiller  nos pensées les plus intimes et scruter nos moindres regards inappropriés. Depuis, du temps a passé, ces mœurs et ces  censeurs  inflexibles ont laissé la place à un cycle ininterrompu de remises en questions et à de véritables  révolutions en matière de mœurs et de morale. Nous étions tous sans exclusive, par nos pensées et nos désirs refoulés et par nos projets inavouables avortés  des fornicateurs en puissance. Enfin, aujourd’hui et dans une société de plus en plus libre qui se réclame et se revendique d’un monde où cette liberté est un droit fondamental et fondateur de l’homme moderne, Nous commençons  tous, en fonction  des pouvoirs et des opportunités qui se présentent à nous, à nous affranchir de ces anciennes valeurs anachroniques  et à donner libre cours à ces instincts naturels que nous avons réprimés pendants des siècles.
« Les groupes sociaux créent la déviance en instituant des normes dont la transgression constitue la déviance, en appliquant ces normes à certains individus et en les étiquetant comme déviants. De ce point de vue, la déviance n’est pas une qualité de l’acte commis, mais plutôt une conséquence de l’application, par les autres, de normes et de sanctions à un « transgresseur ». (4) 

Ainsi la généralisation des ces actes prétendument déviants va en crescendo infléchir cette riposte sociale de stigmatisation, induire un mécanisme assez complexe, surement anomique, où désormais, en chacun de nous, coexisteront harmonieusement deux personnalités, celle qui stigmatise la transgression des « Règles normatives » et celle qui, sous l’effet de pressions extérieures permanentes et d’interactions imperceptibles , s’adonnera au sein du même groupe à cette nouvelle culture de la transgression. Cette implacable lutte entre ce passé normatif révolu et ce présent innovant qui s’impose fera perdre aux anciennes normes leur valeur et leur force moralisatrice, dissuasive et répressive et enclenchera l’avènement de nouveaux paradigmes sociaux, moraux et même juridiques.  Si on considère que notre système normatif est fondamentalement influencé, déterminé par une dogmatique religieuse qui tend à perdre ses pouvoirs dans une société de Droit positif, on ne pourra indéfiniment faire l’économie de démêler cet écheveau ou s’entremêlent traditions, prescriptions religieuses, Lois positives. On commence déjà à entrevoir une forme de laïcisation de la société où l’individu  dévient progressivement  moins enclin à intérioriser des normes religieuses qui conditionnent et déterminent ses comportements qu’à se conformer à des normes sociales et juridiques moins contraignantes car issues d’un autre système normatif intrinsèquement souple, variable et évolutif. La Constitution algérienne prévoit que L’Islam est la Religion de l’Etat, la Justice doit en tirer toutes les conséquences qui en découlent, c’est à dire agir habilement lorsqu’il s’agit de défendre et préserver nos valeurs religieuses communes tout  en restant fidèle à d’autres principes républicains. La Constitution algérienne assure la liberté du culte et bien que le code pénal soit imprécis quant à certaines incriminations, néanmoins le traitement judiciaire accordé à certaines affaires liées  aux pratiques religieuses n’a pas manqué de susciter en 2008  beaucoup de perplexité et d’émoi. Citons l’affaire des six personnes  condamnées à Biskra, la veille de l’Aïd, à quatre ans de prison ferme et 100 000 DA d’amende chacun pour «non-respect du Ramadhan» ainsi que l’affaire Habiba, cette jeune femme de 36 ans, originaire de Tiaret appréhendée en possession de dix-sept copies de l’évangile ,  accusée de « pratique d’un culte non musulman sans autorisation » , et condamnée elle aussi à trois années d’emprisonnement. Il faut reconnaitre que c’est un exercice extêmement périlleux à vouloir appliquer simutanément une justice selon des normes determinées par des référents religieux et les imperatifs d’un Droit positif. La Justice doit être ferme , résolue , assurer une cohesion entre tous ces principes et droits que la constitution algérienne  assure et eviter ces flous juridiques (5), qui remettent en cause l’application juste du Droit et la  neutralité et l’équité  de la Justice.  La difficulté de l’Etat à se positionner entre un Droit positif fatalement perfectible, voué aux abrogations et amendements et  des référents  scripturaires  immuables, inamovibles, constituera fatalement l’enjeu de toutes nos réformes sociales et juridiques. La société algérienne doit savoir de quel genre d’Islam elle prétend se revendiquer et quel place ou quel rôle cet Islam est-il censé jouer dans la société ainsi que ses limites. Sans pour autant tomber dans un intégrisme obscurantiste et si nous nous réclamons d’une société musulmane , nous ne devons en aucun cas, au nom d’un glissement sémantique et normatif, tolérer  ces aberrations  telles que l’adultère qui prend dans notre société des proportions alarmantes, ou la prostitution quelle que soit la forme habile qu’elle puisse revêtir (Prostitution de plaisir).  Et  si au contraire, nos sociétés aspirent à une franche laïcité où le Religieux a perdu tout pouvoir à régenter la vie privée des gens, nous devons alors cesser de figurer parmi les pays les plus hypocrites et schizophréniques au monde et assumer pleinement une éventuelle modernité que nous avons du mal à entamer.
On peut reconnaitre aujourd’hui qu’il est tombé dans la désuétude  cet indice sacrosaint qui donnait à la virginité  (celle de la femme, injustement) toute sa symbolique  qui  rassurait pendant des siècles les uns et les autres  au sujet d’un mythe. La virginité doit résider ailleurs ou cesser de résider quelque part, en tous les cas pas à travers cette fine membrane qu’on appelle « Hymen » et qu’on peut recoudre à volonté pour donner lors de quelques noces traditionnelles ultérieures à un  passé licencieux, un gage à un époux et à une société qui s’entêtent à fétichiser  de manière absurde la fidélité et la virginité. Nous sommes dans une société où tout se pratique et s’emmêle: fellation, sodomie, avortement,  tartufferie, bigoterie.  Nous devons apprendre à assumer courageusement nos actes  et nos convictions.
L’Occident a d’abord commencé par combattre cette fausse dévotion, il a rendu un grand service à l’Eglise et à la conscience des gens ; ça a permis au moins à tout le monde de dévoiler sa propre personnalité car il ne s’agit pas de convaincre les autres de sa Foi au prix de multiples dissimulations. C’est une affaire entre sa conscience et soi-même avec Dieu comme seul et unique juge et témoin. Nous devons également nous interroger sur cette terrible ambivalence de la personnalité de ces hommes qui s’échinent à avilir de milles manières des femmes crédules, à voler leur virginité, à salir leur honneur et réclamer ensuite pour épouse une vierge immaculée. Tout le monde s’amuse avec une débilité déconcertante à scier la branche sur laquelle il est assis.

Références : 
(1) G.Canguilhem, Le normal et le pathologique, PUF, Paris, 1984
(2) « Ne commettez pas la fornication ! Ceci est en vérité une turpitude et une voie néfaste.  » Sourate 24, Verset 2-5- « La fornicatrice et le fornicateur, fouettez-les chacun de cent coups de fouet. Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l’exécution de la loi d’Allah. » Sourate 25, Verset 63-76.
« Tu ne commettras pas d’adultère » (Exode 20,14 – Deutéronome 5,18) « Quand un homme commet l’adultère avec la femme de son prochain, ils seront mis à mort, l’homme adultère aussi bien que la femme adultère » (Lévitique 20.10)
(3) Le 17 mai 1990, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) supprime l’homosexualité de la liste des maladies mentales. En 1999, le législateur français inventait le Pacte civil de solidarité. Une forme d’union à mi-chemin entre le mariage et le concubinage ouverte aussi bien aux couples hétérosexuels qu’homosexuels.
En 2012,  plusieurs pays dans le monde  légalisent  le mariage pour les personnes homosexuelles sur l’ensemble de leur territoire.Plusieurs pays ont même consenti à accorder  L’ »homoparentalité »  et  admettent dans leur législation l’adoption d’enfants par des couples homosexuels, sous des formes plus ou moins étendues.
(4) H.S.Becker, Outsiders, Etudes de sociologie de la déviance, Métailié, Paris, 1985
(5)Les pseudo »apostats »de Biskras ont été condamnés en vertu d’une disposition du code pénal qui à l’origine régissait ce que l’on appelle le délit de presse. L’article 144 bis-Alinéa 2 stipule: «Est puni d’un emprisonnement de 3 à 5 ans et d’une amende de 50 000 à 100 000 DA quiconque offensera le Prophète ou l’un des envoyés de Dieu ou dénigre les dogmes ou préceptes de l’Islam, que ce soit par voie d’écrit ou de dessin, de déclaration ou tout autre moyen. Les poursuites sont engagées par le ministère public. » Certains juristes éstiment que l’acte pour lequel ces personnes ont été condamnées ne tombe sous la force d’aucune qualification pénale , et que le fait de ne pas jeûner n’est pas reconnu comme crime ou délit par le législateur algérien. Quant à l’affaire Habiba.K, on  a reproché à la Justice de faire l’amalgame entre le prosélytisme (certes condamné par L’Ordonnance n° 06-03 du  28 février 2006 fixant les conditions  et règles d’exercice des cultes autres que musulman) et la pratique d’une religion autre que l’Islam, chose que la Constitution algérienne a toujours tenu pour légal au nom de la liberté de conscience et de la liberté d’opinion.

REPONSE A MAZOUZI. MOHAMMED

Le journal a  préféré ne pas divulguer l’identité du maire concerné, publiquement, pour éviter la catastrophe à sa famille, sachez  mon cher, qu’on ne peut pas condamner toute une famille pour une faute commise par un père négligeant, la police a été destinataire d’une copie  de la vidéo comme le journal et c’est à elle de faire son boulot. Et si j’ai à choisir entre l’éthique déontologique de la presse et le respect des familles, je choisis le dernier.          Le directeur du journal 
Mazouzi Mohammed – Universitaire
Jeudi 12 Juillet 2012
Tribune Libre

 

Source :
http://www.reflexiondz.net

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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