Salut l’ami !

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purée de patate -Pour des raisons gastronomiques et économiques je me suis déplacé avec un ami sur Maaskar. Un ami de longue date nous a orientés vers son cousin maternel qui a un cousin paternel qui pouvait nous fournir quelques sacs de pomme de terre à un prix insignifiant. Avant de prendre l’avion, on appelle El Houwari sur son portable et on fixe rendez-vous. D’Essania, baptisé Aéroport Ahmed Benbella, on prend un taxi sur Maaskar via Tiaret, et Souguer je crois, si le reste de ma mémoire est encore intact. Les virages et les montées me semblaient interminables. Quelques chkayer de minutes après on arrive au chef lieu de Maaskar. On appelle notre fournisseur. On lui annonce qu’on est chez lui. Il nous demande où. On lui dit qu’on est à Maaskar. Il nous dit qu’il est chez lui. On demande où se trouve son chez lui, lui qui nous a fixé rendez-vous chez lui à Maaskar. Il nous informe qu’il a deux maisons, une à Maaskar et une à Annaba. On lui demande dans quelle maison il est. Il nous dit qu’il était à Annaba. Il avait fermé la voiture en laissant les clefs sur le contact. Il a pris alors un taxi pour rentrer sur Maaskar, récupérer le double de clefs et retourner par la suite sur Annaba libérer son cousin qu’il a laissé dans la voiture et rentrer sur Maaskar. -Sans tarder, je décide avec mon ami de rebrousser chemin et de rentrer chez nous. -Je te quitte avec l’espoir de revoir des frites faire des bulles dans de l’huile bouillante. C’est un spectacle de luxe de nos jours. Je serai là la semaine prochaine où que je sois et où que tu sois. By: K. Dy.