LE JUGE D’INSTRUCTION PRÈS LE TRIBUNAL DE TIARET A PLACÉ SOUS MANDAT DE DÉPÔT LE DAG DE LA DIRECTION DES ŒUVRES UNIVERSITAIRES ET A MIS SOUS CONTRÔLE JUDICIAIRE DIX CADRES SUR LES QUARANTE PERSONNES IMPLIQUÉES DANS LE SCANDALE QUI A SECOUÉ LA DOU.
L’affaire a trait à la «conclusion de contrats non conformes au code des marchés publics dont ceux attribués sous le sceau de l’urgence au gré à gré, dilapidations, faux et usage de faux». Instruits par le parquet saisi d’une plainte d’un ancien directeur de la résidence 2 000 lits, les policiers ont effectué une enquête avant de procéder, avant-hier, à la présentation d’une quarantaine de personnes devant le procureur. Certaines opérations remontent à 2010-2011 et à 2012. Une procédure qui fait nourrir les supputations. Au-delà du caractère délictuel que pourrait revêtir l’accusation, le déclenchement de l’affaire aurait fait suite aux lettres anonymes dont celles parvenues à la tutelle. Pour rappel, l’ex-DOU et ses cadres ont été condamnés à des peines lourdes en 2008, et en 2009 l’ancien DOU et d’autres cadres de cette institution ont été condamnés en appel par la cour de justice de Tiaret à deux années de prison ferme pour les mêmes accusations. L’affaire est toujours au niveau de la Cour suprême.
30 septembre 2012 à 16 04 58 09589
Tiaret c’est le grenier des voleurs.
les vols,les agrétions,le léssais alez, les travaux baclés,linjustice . . .
roh -roh- roh- ya el-Hadj. coul oui ouikale, coul- ou-nacoule.
votre jour est venu, l’éta Algérien à les Bras longs.
que justice soi équitable, pour tous.
un provèrve Arabe,
li-kalateha el maaza arreare takhalas-ha – dabaghe.