B. KACEM
Les coupures intempestives d’électricité et les perturbations récurrentes du réseau téléphonique et de l’Internet d’Algérie Télécom, dans la cité des Rostomides, comme partout ailleurs, dans les communes sont devenues un réel problème pour ces deux directions. Qu’il vente ou qu’il pleuve sur la région, ce sont toujours les coups de foudre et les «fritures» qui sont supportés par les consommateurs impuissants devant la force de ces deux établissements étatiques peu enclins aux droits citoyens, nous a-t-on indiqué les locataires de la cité Cadat et Djahlane. Pour Algérie Télécom, il est difficile pour que les usagers de la téléphonie puissent bénéficier d’une prise en charge effective de leurs réclamations liées aux différentes perturbations des réseaux endommagés sous l’effet de fortes pluies et/ou disparition de câbles. En effet, plusieurs quartiers de la ville, notamment ceux du sud, vivent, depuis plusieurs jours, avec les problèmes de coupures et faibles débits de l’Internet sans que les services techniques ne daignent intervenir aux doléances des abonnés. «Le comble, selon un abonné agacé, toutes ces perturbations récurrentes sur les réseaux n’interviennent comme par enchantement que durant les jours fériés et/ou lors de fortes averses! Même si, pour des raisons de contrôle et d’efficacité dans la gestion des réseaux, le numéro 12 spécialement conçu pour des réclamations, est domicilié à Chlef pour répondre aux pannes survenues à Tiaret, sur 150 kilomètres. Vive le progrès à distance. » Les locataires du quartier Mohamed Djahlane, au sud, ont été, la semaine dernière, victimes d’un vol de plusieurs mètres de câbles téléphoniques qui sont la principale cause des coupures et des perturbations, a-t-on appris
19 novembre 2012
Boudali. KACEM, Entreprises, Tiaret