le 26.01.14 | 10h00
Erigées depuis l’époque coloniale, certaines infrastructures éducatives au niveau du chef-lieu de wilaya tombent en ruine et ne cessent de préoccuper le corps enseignant, fédération des parents d’élèves ainsi que l’APC.
Que ce soit au niveau des écoles Kouadria Youssef, Ibn-Khaldoun, Pasteur, Pierre et Marie-curie et tant d’autres, témoins d’un passé prestigieux pour avoir sorti de valeureux hommes et femmes de lettres, scientifiques et cadres, ces écoles ont été longtemps oubliées bien que la fédération des parents d’élèves ait tenté à plusieurs reprises d’alerter sur les dangers encourus par les élèves.
Dernièrement et au détour d’un entretien avec le maire d’obédience FLN, monsieur Rabah Boutheldja, l’on a appris que «l’APC a programmé la réfection de 38 des 81 écoles se trouvant sur le territoire de la commune et d’autres le seront une fois la loi de finances complémentaire pour l’année 2014 votée par l’assemblée populaire communale».
Des aménagements sont programmés et d’autres en cours bien que «trop souvent, on est otages de procédures qui nous prennent beaucoup de temps», dira, dépité, l’élu. Aux travaux de réfection envisagés subsiste le problème des cantines scolaires gérées par les personnes émargeant au filet social. Un problème récurrent que l’APC ne pourra résoudre du fait d’un budget limité pour l’heure.
1 février 2014
EL WATAN, ENSEIGNEMENT, Fawzi Amellal., Tiaret