le 09.04.14 | 10h00
Prévu fin mai, ce salon s’étalera sur cinq jours pour permettre aux adeptes du cheval de mieux vivre l’évènement attendu avec impatience, notamment les connaisseurs et ceux rompus aux arcanes de l’élevage équin.
Tiaret abritera, comme l’année dernière, la 8e édition du salon du cheval, pas encore institutionnalisé par les pouvoirs publics centraux, hélas ! Une édition ou l’on compte «valoriser et promouvoir le développement et l’élevage équins en Algérie et singulièrement à Tiaret», berceau du cheval barbe.La capitale des Hauts Plateaux de l’ouest, avec sa belle vitrine qu’est la jumenterie ou «haras national» Chaou-Chaoua, son centre de sports équestres Emir Abdelkader, son palais du cheval ainsi que cet engouement et l’amour que portent les autochtones pour le noble compagnon de l’homme, a tous les atouts pour être une capitale du cheval par excellence si l’on se fie à l’historiographie dédiée aux races de pures souches équines dans tout le Maghreb.
Pour sa première rencontre tenue pour faire le point et entamer les préparatifs, les autorités tablent sur «le prolongement de la durée du salon».
Prévu fin mai, celui-ci s’étalera sur cinq au lieu de trois jours et permettra aux adeptes du cheval de mieux vivre l’évènement attendu avec impatience, notamment par les connaisseurs et ceux rompus aux arcanes de l’élevage. En plus des concours et sauts d’obstacles et d’endurance prévus, il y aura bien sûr de la fantasia, modèle et allure des prix et surtout l’échange d’expériences puisque sont prévues des communications se rapportant aux thématiques liées au cheval.
Partenaires incontournables dans l’organisation, les directions de la jeunesse et des sports ainsi que de la culture ont été chargées, dès à présent, de tout mettre en œuvre pour la réussite de cet évènement majeur dans la région, qui coïncide avec des journées nationales dont celle de l’artiste.
13 avril 2014
PATRIMOINE, Tiaret