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La réclusion criminelle à perpétuité prononcée Tiaret, fratricide

25 décembre 2014

Crimes -Suicide, Sougueur

La réclusion criminelle à perpétuité prononcée
Tiaret, fratricide

Le Midi LibrePublié dans Le Midi Libre le 10 – 12 – 2014

Le tribunal criminel de Tiaret a prononcé, la nuit de dimanche à lundi, une peine à la perpétuité à l’encontre du nommé S. M. (50 ans), reconnu coupable de fratricide (assassinat de sa soeur). Le frère aîné (62 ans), accusé d’homicide volontaire dans la même affaire, a été acquitté. 
Le tribunal criminel de Tiaret a prononcé, la nuit de dimanche à lundi, une peine à la perpétuité à l’encontre du nommé S. M. (50 ans), reconnu coupable de fratricide (assassinat de sa soeur). Le frère aîné (62 ans), accusé d’homicide volontaire dans la même affaire, a été acquitté.
Les faits de cette affaire remontent au 6 février 2012 où la victime (S. A., âgée de 52 ans, émigrée en France) regagna le pays. En se rendant à Souggueur (Tiaret) pour voir sa famille, elle disparut, selon le témoignage d’une amie qui l’avait contacté par téléphone à partir de la France dès son arrivée à l’aéroport Houari- Boumediène d’Alger. Quinze jours après sa disparition, sa famille avait nié son arrivée. Son conjoint, un ressortissant français, avait déposé plainte auprès de la police de son pays.
Après le transfert de l’affaire en Algérie par le biais de la police internationale « Interpol » le 11 mars 2012, le corps de la victime avait été retrouvé au niveau du barrage de Dahmouni portant les traces de pendaison. L’enquête sur cette affaire de crime avait été menée, au départ, sur la base d’une plainte déposée contre X, avant que la chambre d’accusation n’ordonne un complément d’enquête ayant abouti à la mise en examen des deux frères de la victime, placés sous mandat de dépôt le 28 août 2014.
S. M., reconnu coupable de fratricide, a tenté, lors du procès, de nier avoir rencontré sa soeur, alors que l’amie de la victime affirme, dans un témoignage enrôlé dans l’arrêt de renvoi et basé sur l’appel téléphonique, qu’il était présent à l’aéroport. Le fait d’avoir précipité la répartition de l’héritage familial a également plaidé en sa défaveur.
De son côté, la défense du mis en cause dans cette affaire a plaidé l’absence de preuves, soutenant que le témoignage de l’amie de la victime ne peut pas constituer une pièce à conviction. Aucune charge n’a été retenue contre le deuxième accusé dans l’affaire, a relevé la défense.
Après délibérations, le tribunal a condamné le nommé S. M. à la réclusion à perpétuité assortie d’une indemnisation de 2 millions DA pour la fille de la victime et d’un million DA pour son conjoint, ainsi que l’acquittement du nommé S. A. Le ministère public avait requis dans cette affaire la peine capitale à l’encontre des deux frères.
Les faits de cette affaire remontent au 6 février 2012 où la victime (S. A., âgée de 52 ans, émigrée en France) regagna le pays. En se rendant à Souggueur (Tiaret) pour voir sa famille, elle disparut, selon le témoignage d’une amie qui l’avait contacté par téléphone à partir de la France dès son arrivée à l’aéroport Houari- Boumediène d’Alger. Quinze jours après sa disparition, sa famille avait nié son arrivée. Son conjoint, un ressortissant français, avait déposé plainte auprès de la police de son pays.
Après le transfert de l’affaire en Algérie par le biais de la police internationale « Interpol » le 11 mars 2012, le corps de la victime avait été retrouvé au niveau du barrage de Dahmouni portant les traces de pendaison. L’enquête sur cette affaire de crime avait été menée, au départ, sur la base d’une plainte déposée contre X, avant que la chambre d’accusation n’ordonne un complément d’enquête ayant abouti à la mise en examen des deux frères de la victime, placés sous mandat de dépôt le 28 août 2014.
S. M., reconnu coupable de fratricide, a tenté, lors du procès, de nier avoir rencontré sa soeur, alors que l’amie de la victime affirme, dans un témoignage enrôlé dans l’arrêt de renvoi et basé sur l’appel téléphonique, qu’il était présent à l’aéroport. Le fait d’avoir précipité la répartition de l’héritage familial a également plaidé en sa défaveur.
De son côté, la défense du mis en cause dans cette affaire a plaidé l’absence de preuves, soutenant que le témoignage de l’amie de la victime ne peut pas constituer une pièce à conviction. Aucune charge n’a été retenue contre le deuxième accusé dans l’affaire, a relevé la défense.
Après délibérations, le tribunal a condamné le nommé S. M. à la réclusion à perpétuité assortie d’une indemnisation de 2 millions DA pour la fille de la victime et d’un million DA pour son conjoint, ainsi que l’acquittement du nommé S. A. Le ministère public avait requis dans cette affaire la peine capitale à l’encontre des deux frères.

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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